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Annulation du prologue
La Direction de course a prise tôt ce matin la décision d´annuler le prologue. Météo France a émis un bulletin d´avis de grand frais couvrant toutes les zones du bassin Méditerranéen et valable pour toute la journée. Le vent de secteur Nord-Ouest va continuer à fraîchir tout au long de la journée pour atteindre force 7 à 8 cet après-midi (entre 50 et 70 km/h), avec raffales plus fortes.
1er juin : deux manches
La première manche de la Solo Méditerranée s'est déroulée en rade de Marseille. Les 19 milles du parcours proposé aux 30 protagonistes ont été avalés sous 18 nœuds de Nord Ouest. La deuxième manche était un parcours banane.
Marc Emig a terminé respectivement 22e sur 30 et 15e, et se classe 20e au général.
2 juin : à faire les arapèdes !
Avec un renforcement du Mistral, « 30 à 40 noeuds attendus, avec 50 nœuds dans les rafales », les solitaires restent à quai.
3 juin : Marseille-Cassis - 41 milles
Une erreur tactique de Marc Emig alors qu'il est dans les premiers, à savoir un virement de bord un peu tardif et la troupe lui passe sous le nez. Il sera 19e à l'arrivée.
 
Marc en régate à Cassis sur A.ST-Groupe
 4 juin : un parcours banane en rade de Cassis
Sous la plus hautes falaise de France (celle du cap Canaille)
Le petit vent de Sud Sud Est a rapidement déserté le plan d’eau. Les 30 concurrents durent patienter jusqu’en milieu d’après-midi et l’établissement d’un petit souffle thermique pour lancer un parcours « banane » devant la plage de Cassis.
Marc termine 7e, le moral revient, et 18e au général
5 juin : un parcours annulé.. et un goût d'inachevé
Le Comité de Course décidait d'attendre sagement l'établissement d'un petit vent de Sud-Ouest pour procéder au lancement d'un parcours côtier de 17 milles autour de l'île de Riou, entre Cassis et Marseille. Au coup de canon, la flotte franchissait la ligne d'un même élan tribord amure. Marc Emig (AST Groupe) rompait l'engagement au bateau comité pour partir en bâbord au ras des calanques, un choix judicieux qui permettait au Marseillais d'enrouler en tête la bouée de dégagement. La régate semblait alors bien engagée. Mais moins d'une heure après le départ, le vent allait faire défaut... c'est l'annulation au grand dam de Marc.
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