Marc présente page après page
le Catalogue Tupperware
pécial Mer
AIGLE AU DEPART DE LA 37ème SOLITAIRE AFFLELOU LE FIGARO :
Marc est conseiller technique de la gamme AIGLE Actimum. Il teste et met à rude épreuve les produits dans le cadre de ses courses et formule critiques et suggestions pour l'élaboration et le développement des produits AIGLE.
La Solitaire Afflelou Le Figaro 2006
6 - 30 août 2006
sur son Figaro 2 " A.ST Groupe"
Etape 2 : Santander (Espagne) / Saint Gilles - Croix de Vie
>> Communiqué 6 (jeudi 10 août) : Marc Emig « J’ai des raisons d’y croire ! »
Savoir se reposer et être le plus frais possible au phare des Birvideaux après 242 milles dans la traversée du Golfe de Gascogne, les neurones bien en place pour attaquer la dernière partie du parcours (72 milles) où tout peut se passer avec les îles, l’estuaire de la Loire, les pêcheurs, les courants, le vent thermique selon qu’on sera sur zone de jour ou de nuit. … Elle n’est pas si évidente cette étape !.
La tendance est un flux modéré assez stable de NW de 10 à 15 nœud qui permettrait de faire la remontée grosso modo au près sur un seul bord jusqu’aux Birvideaux. Le passage est prévue mardi 15 en début d’après-midi
La "descente" vers St Gilles risque de se compliquer car les modèles ne sont pas d’accord - un vent entre W ou E… ça fait une sacrée différence ! A suivre dans la rubrique "météo au jour le jour" ci-dessous.
Le départ est donné à 15h19, après un rappel général. La bouée Radio France, située à 4 milles de la ligne de départ, est la dernière marque du parcours avant le grand large: Marc est 9e alors que 10 premiers concurrents ont passé la bouée en 3 minutes.
En ce lundi matin, oublié pour l’instant l’unique bord de près vers les Birvideaux. C’est en louvoyant dans un clapot désagréable et du vent faible que les solitaires progressent laborieusement.
Deux options se dessinent : l'option Est et celle directe par l'Ouest choisie par Marc, navigant entre Morvan et Veinard les vainqueurs de la première étape. Mais les écarts sont faibles et les pointages risquent fort d’être régulièrement bouleversés, ne serait-ce qu’au gré des bords de chacun, rapprochant ou non du but, on « perd » ou « gagne » artificiellement du terrain au classement.
Le vent commence à manquer en cet après-midi de lundi, il est variable et inférieur à 5 nœuds et les figaristes se traînent...
>> Clin d'oeil 2 (Marseille 14 août) : le figaro A.ST-Groupe de Marc sur le bandeau de www.lasolitaire.com
Au petit matin de ce mardi 18 août, l’échappée de leurs camarades bien à l’ouest est un coup de maître, qui est certes difficile à avaler, pour le gros de la meute scotché dans la pétole avant la rotation et le renforcement des vents par l'W prévus pour cet après-midi ou soirée, Marc y est aussi... depuis hier soir avec les meilleurs.
>> Clin d'oeil 3 (Marseille 15 août) : Vu dans Le Figaro...
Nicolas Troussel doit sa fantastique victoire (il est arrivé à 5h37, 16 août) à une option extrême à l’ouest, prise dès le départ de Santander et qui lui a permis de toujours maintenir une vitesse honorable, tandis que la très grande majorité de la flotte s’engluait dans des calmes, à l’est de la route directe.
Derrière, les écarts sont énormes. Ce matin du mercredi 16 août,le pointage au passage du phare des Birvideaux, à Belle-île, les autres bateaux étaient à plus de six heures… du jamais vu dans l’histoire moderne de La Solitaire Afflelou Le Figaro.
Marc est arrivé 24e le 16 août à 17h21, et, accuse un retard de 11h44.
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dernière partie du parcours (72 milles) où tout peut se passer avec les îles, l’estuaire de la Loire, les pêcheurs, les courants, le vent thermique selon qu’on sera sur zone de jour ou de nuit. … Elle n’est pas si évidente cette étape !.
Le départ est donné à 15h19, après un rappel général. La bouée Radio France, située à 4 milles de la ligne de départ, est la dernière marque du parcours avant le grand large: Marc est 9e alors que 10 premiers concurrents ont passé la bouée en 3 minutes.
Nicolas Troussel doit sa fantastique victoire (il est arrivé à 5h37, 16 août) à une option extrême à l’ouest, prise dès le départ de Santander et qui lui a permis de toujours maintenir une vitesse honorable, tandis que la très grande majorité de la flotte s’engluait dans des calmes, à l’est de la route directe.
